1. Contexte général
La fusion biologique–algorithmique repose sur une hypothèse majeure :
la cognition humaine (émotions, perception, décision) est un processus computationnel auto-régulé pouvant être étendu par des algorithmes artificiels.
Dans un tel système, le free will (libre arbitre) ne disparaît pas, mais devient co-algorithmique : une co-production décisionnelle entre le cerveau biologique et l’IA,…